diff --git a/expo/app.json b/expo/app.json index 0f5147069..f96522b59 100644 --- a/expo/app.json +++ b/expo/app.json @@ -1,7 +1,9 @@ -{"ios": { +{ + "ios": { "infoPlist": { - "UISupportsDocumentBrowser": true, - "UIFileSharingEnabled": true, - "LSSupportsOpeningDocumentsInPlace": true + "UISupportsDocumentBrowser": true, + "UIFileSharingEnabled": true, + "LSSupportsOpeningDocumentsInPlace": true } -}} \ No newline at end of file + } +} diff --git a/expo/src/reference/testimonials.js b/expo/src/reference/testimonials.js index 41a877509..b7ec773e8 100644 --- a/expo/src/reference/testimonials.js +++ b/expo/src/reference/testimonials.js @@ -1,54 +1,379 @@ const testimonials = [ { - pseudo: 'lolo', - text: "Après 20 ans passé a l armée ou l'alcool était plutôt festif cependant très présent ( mais beaucoup de sport) le retour a la vie civile a été compliqué. J ai fait un boulot pendant 8 ans qui ne me plaisait pas. Je rentrais le soir buvais entre 70 et 100 cl de Ricard tout en ayant un traitement d anxiolytique mélange détonnant. Je vais avoir 50 ans cette année j ai changé de boulot fin décembre je suis sobre depuis 110 jours j ai fait mon sevrage chez moi avec l aide de mon amie et d un médecin généraliste génial. Le plus dur a été le cap des 2 mois fatigué mal partout moral dans les chaussettes crise d angoisse . Je commence a me sentir mieux prise de vitamine changement d anxiolytique boulot plus sympa , là je vais m engager chez les pompiers volontaires j ai retrouvé la motivation de faire quelque chose de ma vie . Fini le suicide a p'tit feu comme j appelais mon alcoolisme. Avec beaucoup de volonté on peut y arriver pas facile mais faisable et surtout rester vigilant courage a tous et tenez bon.", + text: `Beaucoup de témoignages intéressants cependant peu viennent de femmes ... +Vous n'osez pas? On sait pourtant statistiquement que vous êtes là. +Bon je ne serais pas la voix des femmes, juste la mienne. +Ma conso est devenu problématique il y a bientôt 5 ans. Post partum, dépression, licenciement, douleurs chroniques ... les raisons sont multiples. +La cause est unique : le manque de confiance en moi. +Aujourd'hui séparée et maman en garde alternée je souhaite je souhaite me refaire une santé et une vie pico bello sans la bouteille comme béquille. +Je veux retrouver cette force que j'avais et tenir bon le plus longtemps possible, un pied devant l'autre et un jour a la fois .. +Cette appli semble adaptée et ludique. +Alors c'est parti et que la force soit avec vous +✊💜🤘`, + pseudo: "Nelly Copter 🤘", }, { - pseudo: 'Guy', + text: `J'ai bu quasiment tous les jours de l'âge de mes 20 ans à 47 ans. En intégrant un groupe de parole, j'ai été sobre à plusieurs reprises durant de longs mois et un peu plus d'un an. J'ai rechuté suite à une tempête émotionnelle. J'ai commencé un travail sur moi en développement personnel il y a qq mois, aujh je vais mieux mais je suis tjs en rechute. Ce matin le 08 décembre 2024, j'ai décidé de raccrocher l'abstinence car ras le bol de cette dépendance à l'alcool qui me pourrie la vie, à moi, et à mes enfants. Envie de retrouver ma liberté, j'ai décidé de mettre toutes les chances de mon côté : médicaments pr le sevrage, application OZ, retour dans les groupes de paroles. J'ai un objectif : celui d'aider les autres à mon tour, et pour arriver à faire ce que j'ai envie de faire, je dois lâcher toutes addictions.`, + pseudo: "Flo", + }, + { + text: `J'ai commencé à boire à l'adolescence cela me donnait Je croyais de l'assurance pour accepter celle que je n'aimais pas...Moi... + +J'ai été souvent mal traité battu par mon aîné.. + +Enfin une tonne de raisons où je n'ai pas trouvé de vraie réponse +Pourquoi je bois encore aujourd'hui à 60 ans excessivement dès que je sors où bien chez moi seule dès que les vendredis sonne.. + +J'en ai conscience puis l'autre fois mon petit fils qui à 12 ans à dis devant une tablé familiale...< hier mamie était encore bourré > + +Wouhaaa là j'ai pris un violant coup mais un bon coup qui m'a fait réagir et réaliser qu'il était grand temps de me réveiller.. + +Je vous ai trouvé cela fait 5 jours sans alcool +Ils restent le week-end c'est le plus dur à passer pour moi. + +A l'aide !! + +Bet.`, + pseudo: "betty", + }, + { + text: `J'ai commencé jeune à boire avec des amis à des occasions festives, ensuite durant mes études l'alcool était omniprésent. Dans ma vie d'adulte mon conjoint et moi buvions ensemble. les enfants, les problèmes d'argent, de santé et de couples… m'ont fait basculer sur une consommation quotidienne de 1L de vin. +Tout les soirs en rentrant du travail je faisais « l'apéro » avec mon mari, mais je ne m'arrêtais pas à 1 verre… un soir je devais changer les draps de notre lit et je me suis écroulée sur le lit… mon corps était figé, impossible de bouger mais mon esprit entendais tout, je ne pouvais même plus parler… ma fille de 5 ans essayer de me réveiller… ça a était le déclic pour moi de voir dans quel état j'etais devant mes enfants. +J'ai commencé à y penser et a essayé d'arrêter… c'était très difficile, mais j'ai persisté malgré mes périodes de rechutes régulières je me suis accrochée, je me suis lancé le défi d'arrêter de boire la semaine. +J'y arrive sans difficultés aujourd’hui et j'apprécie ma vie et je suis plus en forme. +Je profite pleinement de mes enfants. Le week-end je n'y arrive pas voilà pourquoi je cherche une solution, une aide, +Une pub sur les réseaux m'ont amener à télécharger OZ, j'espère pouvoir suivre ma consommation car je ne souhaite pas arrêter complètement mais fortement diminuer et boire raisonnablement. +Bon courage à ceux qui commence, j'espère que l'appli sera un moyen de prise de conscience et de soutien pour retrouver une vie saine.`, + pseudo: "caro", + }, + { + text: `J'ai commencé l' alcool très jeune 15 ans, au de but c'était festif toute les occasions était bonne pour prendre un verre ou vider la bouteille après un décès dans de terribles conditions je me suis noyée dans l'alcool c'est devenu mon obsession du matin au au soir. Après plusieurs discussions avec mon conjoint bien-sûr j'étais dans le Denis je n'avais aucun problème..... Et un jour le déclic je vais en crever.j'ai essayé d'arrêter de modérer mais rien n'y a fait . A 40 ans c'est pas une vie. J'ai pris mon courage à deux mains et je suis allée voir mon médecin traitant qui m'a prescrit un traitement, les trois premiers jours on était compliqué douleur musculaire maux de tête tremblement.... Aujourdhui jour 4 je me suis réveillée sans gueule de bois j'avais oublié qu'on pouvait se sentir bien dès le réveil et surtout passer plusieurs jours sans alcool. Je vous souhaite la réussite. Courage à tous.`, + pseudo: "Chachou", + }, + { + text: `J'ai l'impression d'être la seule femme de mon âge à vivre avec ce problème, j'aime boire et j'ai de la difficulté à ne pas dérapper, ce qui fait que j'ai honte et me dis que je ne mérite pas cette vie 😥 + +Toute ma vie je n'ai manqué de rien, je suis une fille sans histoire qui apprécie la chance qu'elle a eu dans la vie. Depuis mon Université je traîne beaucoup d'épisodes de dépression sévères. Maintenant 44 ans, maman de 4 beaux enfants, d'un conjoint aimant et patient, n'ayant pas de soucis financiers et résident là où elle a toujours voulu être...Je dois par contre prendre plusieurs médicaments pour me maintenir la tête hors de l'eau. + +L'alcool est présent depuis mes 16 ans, même période où je suis sorti de ma coquille bien hermétique. +Au début seulement pour faire la fête et m'éclater, ensuite pour me détendre, mais la vie est devenue de plus en plus difficile, stressante et compliquée ... + +L'alcool me donne l'impression d'être plus intéressante socialement, me fait vivre des sensations plus fortes que ce que mon quotidien peut m'offrir, car oui je me sens souvent blasée. + +Je réalise que ma consommation m'amène à poser des actions que je ne veux pas faire et à détruit le peu de valeur que je possède envers moi-même. +J'ai de la difficulté à me modérer lorsque je bois. Je veux que cette situation s'arrête avant que je ne fasse quelque chose de trop grave! + +C'est mon jour 1, j'ai une volonté à ce que les choses changent, mais au fond de moi j'aimerais conserver cet état d'ivresse qui me transporte ailleurs, là où je me sens bien 😞. + +Merci pour vos témoignages, j'ai le cœur qui me sert en vous lisant et je comprends tellement. + +J'ai choisi cette application pour m'aider à me sentir redevable envers moi-même et à ce que les choses changent vraiment +Merci d'être là ❤️`, + pseudo: "Rachel", + }, + { + text: `Bonjour à toute et à tous, +Ravi de pouvoir témoigner pour enfin se libérer pour moi l'alcool et satisfaction au bien-être à une certaine dose je n'en ressens que de l'émotion et fait en pâtir ma femme et mes enfants c'est pour cela que suite à des violences conjugales j'ai décidé de minimiser au maximum ma consommation d'alcool certes ce n'est pas la bonne solution que de consommer de l'alcool au quotidien cela met en péril une famille et plus encore je vous souhaite à toutes et à toutes d'avoir la réflexion avant la consommation pour éviter tout drame qui peut vous mener à une terrible descente je vous souhaite à toutes et à tous de pallier à cette saloperie de dépendance pour le bien-être de vous et de votre entourage cela ne pourra qu'elle est mieux pour toute et pour tous voilà ce qu'est mon ressenti libre à chacun d'avoir dépensé positives ou négatives mais cela n'empêchera pas que nous sommes ce que nous sommes et que nous avons besoin de vivre ce qu'il nous attend et sûrement du bien ne pensez pas être seul ce n'est pas le cas tout autour de vous il y a des personnes qui vous aime et qu'il souhaite vous voir mieux plus équilibré et heureux je vous souhaite à toutes et à tous de vous sortir de cette dépendance pour votre bien-être`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `Bonjour à tous +Je suis une femme de 45 ans. +J’ai beaucoup lutté avec l’alcool. +Voici mon parcours : issue d’un milieu aisé mais sans amour ni affection, ambiance délétère à la maison avec humiliations +Puis très jeune avec mes copines (14-15 ans) nous nous faisions des soirées « cercueil » où on mélangeait tous les alcools. Puis je me suis mise à beaucoup sortir, j’étais invitée à toutes les fêtes au lycée, tous les week-ends = beuveries. +Puis abus sexuel grave vers 20 ans, que j’ai toujours « nié » et refoulé. Mais mon cerveau lui s’en souvenait bien. +De là, toujours plus de sorties, de fêtes, d’alcoolisation, tout cela sous le vernis de la fête et de la vie sociale. Manque de bol je me suis mise avec un homme pas mal plus âgé que moi qui avait aussi une grosse descente. +Il est décédé d’un cancer. J’avais deux enfants, j’avais une vie sociale bien remplie et un super boulot bien en vue. J’ai décidé de moins sortir vers mes 30 ans pour m’occuper de mes enfants, mais pas de moins boire, je faisais beaucoup de sport donc cela compensait l’alcool j’imagine, mais je buvais tous les soirs en rentrant du boulot (d’abord deux bières de 33, puis deux bières de 50), pour me destresser. +J’ai continué comme ça jusqu’à réaliser vers mes 40 ans qu’au fond je n’avais pas besoin de sortir pour boire, je pouvais bien boire seule chez moi. +La periode du Covid a été fatale : je bossais toujours mais à distance et je pouvais désormais boire dès l’après midi, ce qui me permettait de me détendre pour passer mes appels (boulot où je devais passer pas mal d’appels à des inconnus). +Et là, c’était des 3/4 lites de bière pas soir. +Je me faisais régulièrement des phases où j’arrêtais de boire, me remettais au sport, me disait que je pouvais essayer de contrôler ma consommantion. C’est là l’erreur : quand on est alcoolique, le premier verre amène au dernier, celui où on tombe inconscient et où les nuits sont sans rêves, sans doute ce que je recherchais. +J’ai continué longtemps à me leurrer, ma montée vers le sans-alcool-du-tout a été très lente. +Je ne voulais pas réaliser, je ne voulais pas arrêter complètement de boire. +J’ai pendant environ deux ans réussi à me ménager des phases de plusieurs semaines sans boire, pour ensuite me faire des rechutes en général assez méchantes de 3/4 jours d’alcoolisation massive. +À mon sens, quand on est alcoolique, il faut faire du 0 de chez 0. +Enfin pour moi c’est ainsi. +Je crois que ça y est, je suis enfin à l’abri d’un « allez vas y juste cette occasion là » qui ne le sera pas, je le sais, mon alcoolisation va reprendre pour 3/4 jours (je rebois dès l’après midi pour me « remettre », pour arrêter d’angoisser, etc). +J’ai compris que c’était mauvais pour moi, et je ne veux plus être mal. +J’ai enfin compris que je ne peux pas. Que je ne dois pas, et surtout que je ne veux pas. Et surtout, je n’ai plus peur de dire « non » +C’est là où le bât blessait avant, j’avais peur de dire non pour ne pas être catégorisée comme alcoolique. +Or maintenant, je trouve qu’il est de plus en plus fréquent que des personnes fassent des « dry months » et n’aient pas honte de le dire. +Mon excuse, là en ce moment c’est : « non merci, je ne bois rien pendant trois mois, pour voir ce que ça fait » +Et je continuerai longtemps à dire ça +Ou bien : non j’ai décidé de ne rien boire pendant 6 mois +Des gens parfois insistent bien sûr mais c’est « mais non! » en rigolant « pourquoi tu veux que je boive ?, j’ai pas envie moi ! » +Voilà c’est finalement simple et je ne culpabilise plus de vouloir garder ma santé et mon esprit d’équerre. +Courage et chance à tous !`, + pseudo: "Blanche", + }, + { + text: `J'ai commencé à boire à l'âge de 16 ans. Au début je buvais uniquement du vin. Au bout de 2 ans j'ai laissé tombé le vin pour aller vers la bière. +Depuis 2019 je buvais au minimum 1 bouteille de Vodka et à défaut 1 bouteille de whisky mais seulement après le vin à table et la bière au bistrot. +Au fond de moi J'ai toujours su que j'arrêterai de boire. J'attendais simplement d'avoir la conviction que la décision est irrévocable. +C'est le même processus que j'ai utilisé pour arrêter la cigarette il y'a deux ans et demi et ça marche. Je n'ai eu aucune difficulté à passer à une vie sans cigarette et maintenant sans alcool. +Je n'ai pas bu depuis le 21 Août passé et je ne ressens aucun besoin. +Le contre coup est surtout physique. J'ai mal partout et l'impression de ne jamais dormir assez. +Mon portefeuille se porte beaucoup mieux et mes enfants sont ravis de me savoir abstinent et ça ça vaut tous les efforts du monde.`, + pseudo: "sans regret", + }, + { + text: `Famille toxique : maltaitance, violence, humiliations et brimades quotidienne, atmosphère incestuelle... +J'ai survécu en fumant beaucoup d'herbe et de shit. +J'ai rencontré un homme splendide et loyal qui m'a aidé à me sevrer. Je n'ai plus jamais fumé un joint. +Ma vie avec lui était simple : beaucoup d'amour, de respect et des projets. +Il est décédé d'un cancer foudroyant. Trois mois en soin palliatif puis la mort. +J'ai commencé à boire pour surm onter la peine et l'absence. +Un verre puis une bouteille tous les soirs. +Pas moyen de fumer un joint. Je ne pouvais pas détruire ce qu'il avait fait pour moi. +Mais l'alcool, c'était autre chose... +J'essaie d'arrêter. C'est trop dur !`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: ` J’ai eu des épisodes dépressifs dans ma vie suite à un traumatisme de l’enfance +Mon premier verre, ce fut à 22 ans et ce sans abus pendant de nombreuses années +L’alcool convivial +Hélas le traumatisme de l’enfance n’était pas réglé (je suis victime d’inceste) et la santé fragile de mon mari (maladie de Crohn) m’a plongée dans l’angoisse et l’insécurité +L’absence de ma mère décédée lorsque j’avais 19 ans me pèse +Je consommais de l’alcool en cachette pendant mes dépressions sévères et mélangeais alcool et médicaments psychotropes (à l’âge de 32 ans) +Tout cela avec de longues périodes d’abstinence ou de contrôle de ma consommation +En 2015 (âgée de 55 ans) je replonge avec épisodes dépression sévère et anorexie suite au décès de mon père +L’aggravation de l’état de santé de mon mari puis son décès en 2022 m’ont fait replonger +Depuis deux années d’un deuil compliqué, mon mari me manque toujours autant (42 années de vie ensemble à faire face à la maladie solidaires l’un de l’autre) +Boire c’est jeter un voile sur ma douleur, supporter l’absence de mon amour +J’ai 66 ans et les épreuves de la vie m’ont beaucoup fragilisée +Ma dépression est chronique et je suis suivie médicalement +Cette application peut m’aider à visualiser mes comportements addictifs et mes objectifs : le contrôle de ma consommation d’alcool, de mes pulsions d’alcool alors que je suis capable de ne pas boire pendant plusieurs jours +Mes enfants et ma famille sont merveilleux mais je ne leur ai rien dit pour ne pas les inquiéter +Seul mon thérapeute sait +J’ai besoin de sortir du mensonge, de prendre soin de moi, de réapprendre à vivre +Je veux atteindre mon objectif de façon durable`, + pseudo: "Clo", + }, + { + text: ` Je m'appelle Mélina j'ai 39 ans. Je crois que j'ai toujours eu un penchant pour l'alcool. +Mon papa était alcoolique chronique. Je le voyais toujours de la même manière tous les soirs. Soit très joyeux soit a tout casser dans la maison. +J'avais beaucoup de peine pour lui car je voyais qu il n'arrivait pas à être sincère, a être lui qu il était perdu dans une relation très complexe avec une femme qu il n'aimait plus, ma mère. Perdu aussi entre ses regrets et ses peurs. +Aujourd'hui il n' est plus la. +De mon côté l'alcool a toujours accompagné ma vie, régulièrement mais jamais à outrance. Je suis assez sensible, vis a vis des autres . Au niveau émotionnel. J'aime la vie mais j'ai beaucoup de mal a gérer les comportements humains abusifs, non respectueux. +Et vu que je suis de nature sympa j'attire souvent ce type d'humain qui veulent en profiter. Je souffre et je bois. +Cette application m'aide car je prends conscience de ma consommation. +J'essaie de réduire mais ça n'est pas évident. +Je me tourne vers le sport, yoga pour palier aux envies mais l'addiction est souvent trop forte... +En tous cas j'aime ce soutien car il est discret, gratuit. Il est perso. +Les boissons au CBD m'aide a palier aux envies parfois :) +Courage a tous +J'ai l'impression que les personnes touchées par les addictions sont souvent des personnes sensibles qui cherchent refuge dans des substances, des personnes frustrées, rejetées, non aimées. Mais sachez si vous vous sentez ainsi vous êtes formidables. Oui oui. +Il faut qu on se le dise car on a le droit de l'entendre. A défaut de ça la plupart du temps on se retrouve jugées. +Soyez forts/fortes! +Rappelez vous qui vous êtes !`, + pseudo: "Mélina", + }, + { + text: `J'ai commencé comme beaucoup pour le côté social, lâcher prise, tristesse... +J'ai pas été gâté par les aléas de la vie et ça depuis ma naissance mais ce n'est clairement pas à cause de tout ça que je suis devenu "alcoolique" je mets des guillemets car je trouve ce mot dénigrant et extrêmement jugent. +J'ai arrêté à plusieurs reprises une année, quelques mois et je suis retombé à plusieurs reprises mais c'est enrichissant et loin d'être décourageant car encore aujourd'hui j'arrête mais cette fois ci je pense que c'est la bonne. On apprend de nos erreurs et on apprend beaucoup sur nous même avec le temps. À 36 ans je décide d'être une autre personne, une personne saine et sereine. +Un jour je regarderais en arrière et je regretterais rien de ma vie.`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `J'ai décidé d'installer cette application car mon entourage m'a fait remarquer que j'avais un problème avec l'alcool. Je ne bois pas de grosse quantité mais je bois régulièrement et très souvent seule chez moi . Je suis très anxieuse et dépressive suite maltraitance durant l'enfance , burn out et perte de mes grossesses et l'alcool permet de "m'apaiser" de me " faire oublier " quelques instants mes problèmes. Je mélange médicaments anxiolytiques, antidépresseurs etc avec ma consommation d'alcool. Je sais que ce n'est pas la solution alors j'ai décidé de'arrêter de boire complètement. `, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `Suite à l'alerte de mon medecin traitant et vu l'augmentation de ma consommation ces dernieres années, j'ai decider de sauter le pas et d'aller voir chez france addiction ce qu'ils en disaient. Après 1 an de suivi et d'effort, de prise de conscience et de risques, je ne suis pas revenu a une consommation sous contrôle ni a 1 arrêt. Mon temoignage est la pour dire que je n'avais pas conscience avant de mon addiction et plus j'en decouvre et plus je me rends compte. +Je continue de me battre et j'y arriverai. Un conseil, si je me permet....n'attendais pas, faites le point si vous avez un doute avec un(e) spécialiste en addiction. Et courage, détermination et force car pour moi en tout cas, c'est bcp plus intense que je le pensais.`, + pseudo: "jim", + }, + { + text: `J’ai 22 ans et j’ai décidé de faire un mois d’abstinence pour rompre avec mes mauvaises habitudes. Étudiant, j’ai pris l’habitude de sortir entre amis presque tous les jours de la semaine (5/7). Ne pas boire était devenu de l’ordre de l’exception. Je ne m’arrêtais jamais à un verre. Quand je bois, je ressens le besoin d’atteindre un certain stade d’ivresse. En commençant à travailler, j’ai continué de boire autant de bières en rentrant chez moi pour me détendre. Et c’est là que je me suis aperçu que ce n’était pas normal. Même si pour l’instant je n’ai pas atteint un stade de non retour, je veux justement reprendre ma consommation en main et arrêter de banaliser l’alcool pour le réserver à des occasions exceptionnelles.`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `J’ai commencé à boire à 13ans. Cela va faire 15 ans que je partage une histoire d’amour et de haine avec l’alcool. Amour car j’en ai fais mon métier. Haine quand je me retrouve la tête dans les toilettes après une soirée d’abus. Cela va faire plusieurs mois que l’application m’aide avec ma consommation. Je suis passé par plusieurs étapes : +- Réussir à avoir deux jours sans alcool par semaine +- Réussir à faire une semaine dans mes objectifs +- Réussir à faire 2 semaines dans le mois dans mes objectifs +A suivre : faire un mois complet dans mes objectifs… +Mon désir est de réussir à faire le Dry January… +Je ne cherche pas à arrêter l’alcool, mais à pouvoir contrôler ma consommation. Ce que je ne suis pas encore capable… +Bon courage à tous`, + pseudo: "Emeline", + }, + { + text: `Voilà désormais 10 ans que ma consommation d'alcool a changé. Ma fille a eu un cancer il y a dix ans, elle avait 4 ans. Elle est maintenant guérie mais les apéros ont été durant cette période mon seul moyen d'évasion et de me sentir détendue et encore aujourd'hui quand les angoisses reprennent. Je ne bois pas tous les jours mais plusieurs fois dans la semaine et le weekend si on voit du monde j'ai souvent du mal à m'imposer des limites. Jusqu'à en être malade les lendemains. J'ai décidé à bientôt 40 ans de prendre ma santé en main et de stopper cette consommation néfaste. J'essaie de me motiver à faire de la randonnée ou à cuisiner pour trouver d'autres moyens de me détendre. Je pratique la relaxation Voilà j'espère que mon témoignage servira. L'application me permet de voir quand mes consommations sont trop élevées et de m'ouvrir les yeux. Je suis maman de trois enfants...Je peux me passer de l'alcool mais je me rends compte que la limite est très proche si je ne fais pas le nécessaire maintenant.`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `Ça fait environ quinze ans que je bois( les années passent tellement vite que ça fait peut être plus que je suis alcoolique). J'ai fait du rugby pendant toute mon adolescence et un cap peinture avec un père alcoolique. Donc vécu dans un contexte où l' alcool était le bienvenu. Après à 28 ans partie 5 ans en Bulgarie où en entrée avec une salade on bois de l' eau de vie appelé rakia. C'est là que a commencé mon alcoolisme. Maintenant j'ai un garçon de 3 ans et une fille de 1 an et demi . Et je me suis toujours promis de ne jamais faire vivre à mes enfants je que j'ai vécu. J'ai déjà fait beaucoup de rechutes malgré mes suivis. Ainsi un coma de 3 jours à cause d' une crise d'épilepsie. Mais je sais que je vais y arriver car d' année en année je fais des progrès. Bon courage à tous on va tous y arriver.`, + pseudo: "nene73", + }, + { + text: `J'ai commencé à boire à l'âge de 13-14 ans. J'ai toujours aimé la compagnie de personnes plus âgées que moi et ces personnes consommaient énormément. J'adorais l'ivresse, j'étais mal dans ma peau comme bon nombre d'ados et l'alcool me faisait oublier tout ça, on riait énormément c'était super. + +Plus tard j'ai quitté ces relations et rencontré mon premier amour. Ma consommation s'est stoppée, ce qui est une bonne chose car elle me semblait déjà dangereuse. Régulièrement j'avais des envies de boire. Nous nous sommes séparés et j'ai rencontré un autre garçon qui adorait faire la fête. Toutefois je buvais raisonnablement, jamais d'excès et jamais en dehors des fêtes. Cela ne me manquait pas. Nous n'étions pas très compatibles alors je suis partie. + +J'ai rencontré mon mari et tout se passait aau mieux. Notre garçon est né et c'est à ce moment où j'ai commencé à boire beaucoup. Beaucoup c'est à dire souvent et ne pas réussir à m'arrêter. Lorsque mon fils est né je ressentais cette peur immense et viscérale de le perdre, alors je tentais de noyer cette peur. Je l'ai compris beaucoup plus tard ! + +Aujourd'hui ma consommation est difficile à maîtriser, j'aime les alcools forts et quand je suis partie j'ai dû mal à m'arrêter. Parfois même je n'ai pas réussi à aller travailler le lendemain... +De temps en temps je décide que ça suffit et je stoppe, plusieurs semaines et même une fois pendant presque un an avec l'aide d'un hypnotherapeute. +Mais j'y retourne toujours alors ça me rend malade physiquement, que ça detraque mon sommeil. Parfois presque sans envie, mais je ne me méfie pas et puis ça repart vite dans une spirale infernale. + +Maintenant je sais que je dois arrêter totalement, je ne sais pas gérer la conso et il est moins frustrant pour moi de ne rien boire plutôt que devoir me restreindre. +Néanmoins j'ai peur que ça me manque car les soirées sont quand même moins fun, même si j'apprécie de me lever le matin en ayant bien dormi sans gueule de bois après avoir fêté une anniversaire et, le mieux de tout : m'en rappeler de A à Z ! + +J'ai téléchargé l'application il y a 5 jours, j'espère que cette tentative est la bonne. +L'alcool est hyper présent dans ma vie. Dans mon entourage presque tout le monde boit de façon démesurée et ne comprennent pas mes moments de pause. Même mon mari me dit "tu as juste à en boire 2 et c'est tout". Je n'en suis pas capable, je fais partie de ces gens qui sont "tout ou rien". + +Merci de m'avoir lue je vous envoie de la force car vos témoignages m'en donnent aussi. +Nous allons y arriver, ne laissons pas un produit prendre le pouvoir sur notre vie. Ce n'est qu'un produit ! +Courage`, + pseudo: "Céline", + }, + { + text: `Je suis en train de divorcer et grâce à l'application je suis en train de me rendre compte que je bois plus souvent que je ne le pense. +C'est insidieux, ça me fait prendre conscience que c'est en train de s'installer. +Même si ma consommation est limitée enfin pour l'instant, l'application m'aide à me contrôler. +Des fois c'est dur quand je vois que j'ai pas réussi à me contrôler j'ai honte. + +J'ai peur car en même temps je suis sous anxiolytique.le cocktail est détonnant, je vais y arriver car je suis suivie par un psy mais j'ai peur de sombrer ou de pas être consciente au moment où mes enfants sont en danger. +Merci de m'avoir lu`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `Je bois le soir. Seule. Ça dure depuis des semaines, je crois. +Je bois, j'écoute de la musique, et je pleure toutes les larmes de mon corps. Je pleure à en hoqueter, à en crier, comme si je pouvais être enfin triste et libérée des angoisses. Parfois je mélange avec des anxiolytiques.. et la vérité, c'est que ça ne me libère de rien. Ça ne soulage rien. +Le lendemain je me lève à l'aube, comme d'habitude, et je joue les adultes responsables et fiables. Mais le soir, seule, je bois comme si ça me permettait enfin de respirer. + +Ce soir je ne bois pas. Et j'espère ne plus jamais boire. +En deux ans, j'ai traversé des fausses couches, un cancer, un syndrome de stress post-traumatique, et je viens seulement d'avoir 32 ans. Je prends cette décision pour moi, d'abord. Ce soir, je ne bois pas. +Et peut-être qu'à ma prochaine crise de larmes, je serai enfin vraiment soulagée. + +Ce soir, je ne bois pas.`, + pseudo: "Alinéa", + }, + { + text: `J'ai 31 ans et je bois régulièrement, avant c'était estival mais depuis le décès de mon père c'est régulièrement depuis 5 ans. +Il y a peux de temps j'ai réalisé le mal que je suis devenu pour moi et ma compagne au point de même ignoré la vérité sur la fréquentation d'un autre gars , je ne souris pas car j'ai les dents abîmé de ces 5 ans de clope alcool, mais j'ai décidé de me reprendre en main car marre de voir mon ventre enflé comme un ballon. +Alors oui c'est dur au début des mots de tête des idées noir au moment de dormir, la haine de se regarder en face mais rien est insurmontable. Mais sur savoir bien s'entourer. +Ma compagne a promis de ne plus revoir ce garçon si je fais des gros effort , mes amis me tire vers le haut et déjà en quelques semaines je bois moin et contrôle ça. +Courage a tous.`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `Mon expérience avec l'alcool est une triste expérience...l'alcool m'a servi étant plus jeune à me déconnecter d'une dure réalité...(enfance et adolescence difficile)...plus tard pour me permettre d'oublier et de continuer à avancer....malheureusement avec toutes les conséquences que cela entraîne (ivresse...mal être...dépression...) +Je sais que j'ai un problème avec l'alcool...j'en suis conscient...je ne sais pas boire...je ne sais pas m'arrêter...et je n'ai plus aucune limite... +Je fais partie des personnes qui ne doivent plus toucher à l'alcool... +Aujourd'hui j'ai 42 ans et je suis conscient du parcours qu'il me reste à accomplir... +Donc je vais essayer de travailler sur mon comportement....et gérer mon mal être autrement qu'en me saoulant... +Je voulais vous faire partager mon expérience avec l'alcool qui ne m'a apporter que des problèmes... +À présent, je vais essayer de composer autrement.. et apprendre à être heureux au naturel ;)`, + pseudo: "unhommede42ans", + }, + { + text: `J’ai 27 ans, et l’alcool a toujours été présent dans ma vie, depuis que je suis née. Mon père était un grand alcoolique, et à l’époque, quand j’étais plus jeune, il a fait de nombreux allers-retours en cure de désintoxication et hôpital psy, mais il a toujours recommencé à boire, souvent plus qu’avant, et surtout avec l’âge il devenait de plus en plus fatigué. À y réfléchir, j’ai quasi jamais vu mon père sobre plus de quelques jours d’affilée, il buvait du matin au soir, et on a souvent été dans des situations dangereuses mon frère et moi (il conduisait ivre, etc). Ma mère aussi buvait, mais c’était un peu différent. Déjà parce qu’elle travaillait, alors que mon père non, donc elle buvait principalement le soir, devant la télé, mais elle pouvait s’enfiler des litres de vin blanc, toute seule devant la télé. C’était assez triste et assez anxiogène aussi. Dans ma famille, une de mes tantes a aussi été longtemps alcoolique. Et puis, mes parents faisaient la fête avec des personnes qui buvaient pas mal aussi. Il y a quelques années, mon frère est tombé dans une très complexe addiction à l’alcool et aussi à toutes sortes de drogues dures. Ça a été vraiment difficile à vivre pour moi, car avant tout cela on était très proches, mais ses addictions nous ont bcp éloignés. Je l’ai beaucoup soutenu dans sa guérison mais il a été très longtemps dans le déni. J’ai toujours su que dans un environnement pareil, j’étais plus vulnérable à cette addiction, d’autant plus que j’ai commencé à boire assez jeune, entre amis, vers 14-15 ans. Je n’ai jamais trop abusé jusqu’à ce que j’aille à Paris pour mes études, je ne buvais pas régulièrement mais ça coulait généralement à flots dans les soirées étudiantes. Mais j’ai toujours su garder le contrôle, pendant plusieurs années. Et puis ensuite j’ai entamé un master dans une autre ville, et j’ai vécu beaucoup de drames familiaux, toujours stressée et je devais être « responsable » par rapport à ma famille, alors je me suis oubliée. Je buvais de temps en temps avec des copains et ça n’allait jamais plus loin que quelques bières le soir. Et puis j’ai commencé à boire seule. A l’époque j’avais un petit copain qui se comportait vraiment mal avec moi, je me sentais très seule et très anxieuse, je portais bcp sur mes épaules. Pendant la pandémie je buvais quasiment tous les soirs, le confinement a été très problématique parce que j’étais avec cet ex. Je me suis isolée et tranquillisée dans l’alcool. Ça m’aidait à écrire et à faire des introspections. Après la rupture j’étais soulagée mais j’ai fait une horrible dépression, qui a été relativement bien soignée, et je buvais de manière aléatoire mais quand même assez régulièrement. En plus, j’ai toujours été dans des environnements universitaires ou professionnels où il y avait des piliers de bar. Mais je contrôlais pas mal. Je n’étais jamais par terre, je ne vomissais pas, rien. Je savais arrêter à temps. Ensuite pour le boulot je suis partie vivre à l’étranger. Pendant les premiers mois, voire la première année, j’allais relativement bien, puis j’ai arrêté mon traitement antidépresseur je pense trop tôt, alors la dépression s’est réinstallée très lentement. Je suis devenue de plus en plus anxieuse, donc je buvais de plus en plus. Le problème c’est qu’avec le temps, je ne contrôle plus vraiment. J’essaie de ne pas boire seule, car je peux arrêter de boire pendant des semaines ou des mois sans problème. Sauf que si je commence à boire, je deviens inarrêtable. Si je bois avec une ou deux personnes ça passe, mais en soirée avec du monde je deviens insupportable. Je ne suis pas violente, mais je suis pénible, je suis collante, je demande de l’affection, je me mets parfois en danger en allant chez des gars pas très safe etc. Nombre de fois ou je suis rentrée chez moi en taxi sans avoir aucun souvenir de comment j’ai atterri dans mon lit. J’oublie le trois quart de la soirée tellement je me mets des caisses, et ça me fait honte, je dois certainement passer pour une grosse debile ou une meuf très chiante, et je sais que tout le monde n’est pas bienveillant. J’essaie de ne pas me sentir trop coupable, mais je sais que je suis responsable de mes consommations, etc. Alors j’ai décidé d’entamer une période d’abstinence. Je sais qu’arrêter quand je ne bois pas n’est pas un problème, puisque le mien est lorsque je commence à boire, je bois jusqu’à ne plus me sentir. En tout cas je vous remercie pour cet espace et je vous souhaite à tous et à toutes la possibilité de vous reconstruire et d’être heureux.`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: `25 ans d’alcoolisme modéré : 3 ou 4 verres de vin tous les soirs. Après 40 ans, j’ai commencé à sentir les effets sur ma santé, mon sommeil et mon corps. Envie d’arrêter tous les matins. Plus de motivation le soir quand l’envie de boire arrive. +J’ai écouté une séance d’hypnose sur internet. Gratuite. 5 jours plus tard, plus envie de boire du tout. Un miracle… +Voilà 3 semaines que je suis abstinente. Sans aucun écart et plus du tout envie d’alcool. +J’ai perdu 2 kilos, j’ai meilleure mine et je dors super bien. +J’ai fait 2 soirées sans problème. Joyeuse sans boire. Et sans juger ceux qui boivent encore bien sûr. +Je suis consciente que rien n’est jamais acquis mais je savoure ce sentiment de libération, de fierté et cette impression d’avoir rajeuni. +C’est une victoire inestimable pour moi et je vais tacher chaque jour de ne pas l’oublier pour ne plus vivre cette addiction, ce poison dans ma vie. +Courage à tous ceux qui se lancent et pensez à l’hypnose !`, + pseudo: "Suzane", + }, + { + text: `C'est étonnant de voir à quel point nos témoignages peuvent se ressembler.. nous sommes tous tombé dans le même piège.. comment quelque chose qui nous a fait tant de bien peut finir par nous faire tant de mal.. J'ai commencé à boire trop aux alentours de 22 ans, j'en ai maintenant 39, et mon corps me dit qu'il est temps de faire quelque chose de radical pour préserver ma santé mentale et physique.. +Plus d'énergie, plus de motivation pour grand chose.. l'alcool nous laisse anxieux et déprimé et nous empêche de réussir quoi que ce soit.. +Nos proches ne sont pas dupes je pense. Ils savent bien que ça ne pourra pas continuer indéfiniment comme ça. +Il n'y a que de la souffrance qui nous attend si nous poursuivons dans cette voix.. donc finalement le choix d'arrêter s'impose de lui-même puisque être raisonnable ce n'est pas possible pour nous autres lol. +Il y a heureusement d'autres endroits où trouver le réconfort et le bonheur qu'au fond d'une bouteille.. +Force, courage et indulgence envers nous même..`, + pseudo: "roberto", + }, + { + text: `J'ai 36 ans j'ai commencé l'alcool festifs vers 15 ans et depuis plus de 10 ans je sais que je suis alcoolique ! je suis passé par une dizaine de cure et sevrage en hôpital, j'ai eux comme beaucoup des problèmes dure dans ma vie ! + +Je viens de télécharger cette application pour me rendre compte avec le calendrier des cette +appli pour me donner plus de courage et me rendre compte des efforts que je fais pour ne plus jamais toucher à une goutte d'alcool ! + +Merci pour vos messages ! Courage à tous c'est dur pour moi en se moment mais je sais que la vie est belle et qu'après la pluie viens le beau temps !`, + pseudo: "Anthony", + }, + { + text: `Je m'appelle Florian, j'ai 29ans, j'ai commencé des consommations d'alcool assez jeune et je me suis vite retrouvé dans un engrenage quasiment impossible a stopper, sans m'en rendre compte mes consommations ont augmenté ainsi que des pratiques a risques, j'ai multiplié les partenaires sexuels très souvent sans protection ou sans même me souvenir du prénom de la fille a côté de moi, j'ai vécu des longues périodes de trou noirs, me sentant honteux et par conséquent je recommençais sans cesse a boire pour oublier, j'ai cherché a fuir un passé chaotique avec un père violent limite tortionnaire, je me suis réfugié dans l'alcool jusqu'à mettre ma propre santé, et mon corps en danger, j'ai récemment eu un déclic très violent, sous l'emprise de l'alcool j'ai eu un accident et m'en sort avec simplement une triple fracture de la malléole extérieur, je m'en sort avec deux plaques en métal et quelques vis dans les os, ça aurait pu être bien plus grave, j'aurais pu y laisser la vie, certains jeunes perdent la vie sous l'emprise de l'alcool dans des accidents qui pourraient vraiment être évité, au lieu de me réfugier dans l'alcool j'aurais dû prendre mon courage a deux mains et contacter un professionnel de santé pour parler de mes problèmes, j'ai conscience que c'est quelque chose de vraiment très difficile a faire, mais si jamais vous lisez mes quelques lignes, n'attendez pas, n'attendez pas d'avoir un déclic trop tard, soyer courageux(euses) contacter un addictologue ou même un psychiatre, reconnaître qu'on a besoin d'aide ce n'est pas quelque chose de mauvais, au contraire c'est le premier pas vers la porte de sortie. + +J'ai commencé bêtement par quelques bières et me retrouve aujourd'hui à 29 ans a consommer 2 a 4l itres de bière avec une bouteille de whisky en 70cl environ tout les 2/3 jours simplement pour me sentir d'humeur " convenable" et supporter les gens, l'alcool a détruit ma vie sentimentale et a littéralement anéanti ma vie sociale, les "amis de bouteilles" et les personnes que vous ramenez dans votre lit ne sont pas de véritable amis ni même des proches, ce sont juste des gens qui profitent de vous et qui schématiquement ne risquent pas de vous tirer vers le haut.... + +Je vous souhaite à tous et a toutes bonne chance sur le chemin de la guérison, n'ayez pas peur de vous faire aider m, réagissez, avant qu'il ne soit trop tard.`, + pseudo: "Florian", + }, + { + text: "Je suis alcoolique. L'accepter n'a pas été facile, il m'a fallu plus de trente ans pour le comprendre. Aujourd'hui j'avance petit à petit sur un chemin fait de rechutes et de périodes d'abstinence. Il m'est difficile de me voir comme un consommateur à risque pourtant c'est ce que je suis. Le premier verre et c'est la chute... Comment éviter ce premier verre. C'est ce que je dois apprendre et je dois arrêter de me convaincre que je peux gérer, car c'est faux. Je n'en suis plus capable. Ne plus boire cela remet en cause directement mon passé car je me rends bien compte que mes relations sociales ont été faussées car pour être à l'aise il me fallait de l'alcool. Quand je repense à tout ça, je me dis que je peux reconstruire ma vie sans consommer et que j'ai le droit de vivre un peu en retrait des autres sans que j'ai besoin de l'alcool pour créer une barrière de sécurité. J'ai déjà éprouvé les bénéfices d'une longue période d'abstinence et c'est une perspective toujours autant séduisante. L'important d'abord.", + pseudo: "Louis", + }, + { + text: `Je travaille dans le médico social. Je coordonne et accompagne régulièrement des personnes faisant face à des conduites addictives. J'ai grandi dans un environnement où l'alcool fait office de rituel social notamment pour intégrer un groupe. La consommation d'alcool était banalisée, tolérée voir valorisée dés le début de l'adolescence. J'ai commencé jeune à boire et à boire beaucoup en soirée sans que ça n'inquiète personne. Voir même à un moment, l'alcool restant la "part des hommes" j'en ai usé pour m'imposer dans des interludes quelque peu misogynes. Désormais, avec un héritage anxiolytiques dépressif sur lequel je travaille depuis longtemps, l'alcool reste trop souvent un réflexe pour m'apaiser. Seulement, aujourd'hui avec mon compagnon nous voulons fonder notre famille et ça ne se passe pas aussi facilement qu'on le projetait. Certes y'a la fameuse "horloge" (Aka une pression de plus) mais l'alcool n'est pas la meilleure de la fertilité non plus. Alors je m'efforce à réduire mes consommations mais mazette que c'est dur dans un parcours si stressant ! Navrée, mon témoignage n'est pas des plus encourageant mais je tiens juste à toutes les personnes se reconnaissant comme femme me lisant que non vous n'êtes pas seule !`, + pseudo: "Anonyme", + }, + { + text: "Bonjour, j'ai commencé à boire régulièrement, il y a environ 6 ans maintenant. A l'époque, j'avais la maîtrise de ma consommation. Depuis 2 ans ce n'est pas toujours le cas, je consomme surtout du vin blanc ou rosé et le soir et week-end. Je peux boire les 3/4 d'une bouteille seule en une soirée. En septembre, j'avais réussi à diminuer ma consommation et je ne buvais que des bières aromatisées ( 1 à 2 par soir) et 2 bouteilles maximum de vin le week-end. J'essaie d'éviter d'acheter et jusqu'à décembre, je réussissais. Mais à présent, tout est à recommencer... Je me culpabilise après coup et je me dis que je ferai mieux demain, sauf que je n'arrive pas... Le soir avant le repas, je me sers sans toujours compter. J'ai des enfants atypiques et un travail qui me prend beaucoup de temps et j'ai l'impression que sur le moment ça m'aide et m'apaise, ce qui est au final n'est pas le cas. Je ne veux pas en parler à mon entourage et à mon médecin car j'ai honte. Mais je ne sais pas très bien comment m'en sortir.", + pseudo: "Anonyme", + }, + { + pseudo: "lolo", + text: "Après 20 ans passé a l'armée ou l'alcool était plutôt festif cependant très présent ( mais beaucoup de sport) le retour a la vie civile a été compliqué. J'ai fait un boulot pendant 8 ans qui ne me plaisait pas. Je rentrais le soir buvais entre 70 et 100 cl de Ricard tout en ayant un traitement d'anxiolytique mélange détonnant. Je vais avoir 50 ans cette année j'ai changé de boulot fin décembre je suis sobre depuis 110 jours j'ai fait mon sevrage chez moi avec l'aide de mon amie et d'un médecin généraliste génial. Le plus dur a été le cap des 2 mois fatigué mal partout moral dans les chaussettes crise d'angoisse. Je commence a me sentir mieux prise de vitamine changement d'anxiolytique boulot plus sympa , là je vais m'engager chez les pompiers volontaires j'ai retrouvé la motivation de faire quelque chose de ma vie. Fini le suicide a p'tit feu comme j'appelais mon alcoolisme. Avec beaucoup de volonté on peut y arriver pas facile mais faisable et surtout rester vigilant courage a tous et tenez bon.", + }, + { + pseudo: "Guy", text: "De 2005 à aujourd'hui, 19 années de remises en question ont été traversées. Je suis passé de l'indigent au cadre de service social au fil de mon retour à une hygiène de vie salutaire pour ma santé physique et mentale. D'abord, ce temps d'abstinence qui m'a fait apprendre mon corps, ma psyché et surtout qui je suis. L'équilibre retrouvé m'a fait prendre soin des autres en les accompagnants dans l'abstinence puis en les guidant au travers de leurs envies. Et puis est venu le temps de mon accomplissement avec ce retour sur les bancs de l'école que j'avais quitté... au bénéfice de la consommation de produits divers. 3 ans d'études pour devenir assistant de service social, 1 an de plus pour être cadre social, et, aujourd'hui, mes lectures et mon implication dans le prendre soin des autres, me portent vers l'ingénierie sociale. de 10 ans à 42 ans, j'ai consommé pour paraître, aujourd'hui, sans ces consommations : Enfin je suis!", }, { - pseudo: 'Jean-Michel', + pseudo: "Jean-Michel", text: "J'ai commencé à boire de l'alcool dès l'âge de 15/16 ans, notamment lorsque je suis entré en apprentissage de peintre en bâtiment. Mais c'est bien vers mes 20 ans que mes consommations sont devenues problématiques, et ce, durant une trentaine d'années. Vers mes 30 ans, étant marié, 2 enfants avec des responsabilités dans mon travail, j'ai commencé à utiliser l'alcool comme béquille contre le stress. Le produit étant un puissant dépresseur, je me suis refermé sur moi-même, installé dans ma bulle avec pour seule compagnie la bouteille ou plutôt les bouteilles d'alcool en tout genre.\n\nHospitalisé, j'ai accepté l'aide médicale qui m'a été précieuse. Cette aide a été, pour moi, en dehors des traitements médicamenteux essentiels au sevrage, l'occasion de repenser ma vie autrement, de modifier mes habitudes par des activités plaisantes. J'ai pu retrouver les\n\nplaisirs du bricolage, de la cuisine, des balades en nature, bref, tout ce que je faisais avant, mais sans ce besoin d'alcool. La découverte de la sophrologie a été pour moi un véritable outil aidant à la gestion du stress.\n\nBien entendu, ce n'a pas été facile tous les jours, mais la sophrologie me ramenait à l'essentiel, ce pourquoi il me fallait m'imposer ces règles : mon bien, c'était mon choix car il en dépendait de ma santé et de mon avenir.\n\nAujourd'hui à 60 ans, je vis heureux, lucide, détendu, j'ai retrouvé la confiance de mes proches, je fais des activités plaisantes sans contrainte et loin de tout remords, j'ai retrouvé ma liberté.", }, { - pseudo: 'bimboum', + pseudo: "bimboum", text: "Depuis 17 ans, je bois régulièrement le vendredi, le dimanche et parfois en semaine. Malheureusement, une fois que j'ai commencé un verre, je n'arrive plus à m'arrêter et cela a un impact négatif sur ma vie quotidienne.\n\nLe lendemain, j'ai du mal à me lever, je suis toujours fatigué et je n'ai aucune motivation pour faire quoi que ce soit. Je me sens comme un légume, je végète toute la journée et je réalise que cette habitude ne me rend pas heureux.\n\nC'est pourquoi aujourd'hui, j'ai décidé de prendre les choses en main. Je souhaite commencer une période d'abstinence et je suis prêt à tout mettre en œuvre pour m'en sortir. Je sais que ce ne sera pas facile, mais je sais que c'est la bonne décision pour ma santé et mon bien-être.\n\nJe compte sur le soutien de mes proches et je suis déterminé à changer mes habitudes de vie pour retrouver une meilleure qualité de vie. Merci de m'avoir écouté et de me soutenir dans cette démarche.", }, { - pseudo: 'larouteestlongue', - text: "Quand on y pense l alcool est souvent un long compagnonnage, on goûte on déteste ça mais on boit un peu plus et finalement ça rentre on apprécie même l ivresse et les nuances du goût de telle ou telle boisson. J ai du prendre ma première cuite à 15ansje me rappelle encore de l étonnement joyeux qui était le mien lorsque je n arrivais plus à marcher droit. à l epoque j aimais beaucoup le sport la vie les copains je n ai pas imaginé ce qui m attendais. La suite est pleine de soirées belles et moins belles de filles séduites, de types insultés, de léthargies ou de bonheur béat. Pourtant je n ai jamais aimé les jours d après. L épuisement, les mots de tête, l immense sentiment de mal être ou de gêne quand on ne se rappelle pas tout ou encore trop bien des bêtises qu on a pu raconter, des torts qu on a pu causer.\n\nJ ai bu beaucoup dès la vingtaine jusqu à aujourd'hui ma quarantaine. L alcool s est habillé de bien des parures, la fête, la rock attitude, le dandysme, la dégustation ou encore la franche camaraderie.\n\nLe pire étant l epoque où je me pensais 'amateur' je buvais tout seul ouvrant de belles bouteilles avec le nez curieux et les terminant l œil torve.\n\nAujourd’hui toutes ces attitudes sont là mais moins souvent. Je me domine sans peine j arrive à faire le dry january, à faire des jours sans alcool. À chaque fois ça va mieux et pourtant ensuite je rebois parce qu autour de moi tout le monde boit et la plupart avec plaisir mais sans excès. Tant mieux pour eux. Mais moi j ai un secret terrible. Je n arrive pas à en parler tellement il est nul ce secret. Mais mon secret c est que dès que je bois une gorgée d alcool j ouvre un abîme sans fond. C est systématique ce n est jamais un peu. C est jusqu au trop plein, j avais envie de dire jusqu à la mort. Quand je bois je ne m arrête plus. Ça descend ça descend et ça descend encore. Et je ne maîtrise rien. Je dois à ma bonne étoile d être encore en vie. Combien de retour à la maison complètement oubliés de réveils à même le sol ou sur des canapés de gens que je 'en connaissais pas. Ah oui, quand je dis retour à la maison c est que ne vous y trompez pas je suis très bien inséré dans la société. Côté pile, j ai un enfant que j adore, une femme des parents des amis une super situation, des passions et côté face je crève de mon addiction. Passée 22h je n'articule plus, ne comptez sur moi pour rien sinon pour régler les consos ou flamber mais le lendemainje ne me rappellerai plus de ce moment. Voilà j ai essayé mille fois d arrêter mille fois je me suis juré en pleurant de ne plus recommencer. J ai trouvé mille bonnes raisons, pris des pillules, vu des psys et croisé les doigts. Mais rien à faire. Je replonge toujours. Je le sais si je ne deviens pas parfaitement sobre je risque d y laisser plus que des plumes.\n\nAlors c est pour ça que je viens là. Pas pour dire que c est fini. Pas pour dire que j ai gagné mais pour dire à tout ceux qu il le souhaite qu il faut qu on s entraide, qu on assume et que c est mieux de l admettre que de se laisser consumer. Je souhaite un immense courage à tout le monde et surtout celui de franchir le pas d appeler à l aide et de se battre. Parce que oui, on vaut mieux que ça bordel.", + pseudo: "larouteestlongue", + text: "Quand on y pense l'alcool est souvent un long compagnonnage, on goûte on déteste ça mais on boit un peu plus et finalement ça rentre on apprécie même l'ivresse et les nuances du goût de telle ou telle boisson. J'ai du prendre ma première cuite à 15ansje me rappelle encore de l'étonnement joyeux qui était le mien lorsque je n'arrivais plus à marcher droit. à l'epoque j'aimais beaucoup le sport la vie les copains je n'ai pas imaginé ce qui m'attendais. La suite est pleine de soirées belles et moins belles de filles séduites, de types insultés, de léthargies ou de bonheur béat. Pourtant je n'ai jamais aimé les jours d'après. L'épuisement, les mots de tête, l'immense sentiment de mal être ou de gêne quand on ne se rappelle pas tout ou encore trop bien des bêtises qu on a pu raconter, des torts qu on a pu causer.\n\nJ'ai bu beaucoup dès la vingtaine jusqu à aujourd'hui ma quarantaine. L'alcool s est habillé de bien des parures, la fête, la rock attitude, le dandysme, la dégustation ou encore la franche camaraderie.\n\nLe pire étant l'epoque où je me pensais 'amateur' je buvais tout seul ouvrant de belles bouteilles avec le nez curieux et les terminant l'œil torve.\n\nAujourd’hui toutes ces attitudes sont là mais moins souvent. Je me domine sans peine j'arrive à faire le dry january, à faire des jours sans alcool. À chaque fois ça va mieux et pourtant ensuite je rebois parce qu autour de moi tout le monde boit et la plupart avec plaisir mais sans excès. Tant mieux pour eux. Mais moi j'ai un secret terrible. Je n'arrive pas à en parler tellement il est nul ce secret. Mais mon secret c'est que dès que je bois une gorgée d'alcool j'ouvre un abîme sans fond. C'est systématique ce n'est jamais un peu. C'est jusqu au trop plein, j'avais envie de dire jusqu à la mort. Quand je bois je ne m'arrête plus. Ça descend ça descend et ça descend encore. Et je ne maîtrise rien. Je dois à ma bonne étoile d'être encore en vie. Combien de retour à la maison complètement oubliés de réveils à même le sol ou sur des canapés de gens que je 'en connaissais pas. Ah oui, quand je dis retour à la maison c'est que ne vous y trompez pas je suis très bien inséré dans la société. Côté pile, j'ai un enfant que j'adore, une femme des parents des amis une super situation, des passions et côté face je crève de mon addiction. Passée 22h je n'articule plus, ne comptez sur moi pour rien sinon pour régler les consos ou flamber mais le lendemainje ne me rappellerai plus de ce moment. Voilà j'ai essayé mille fois d'arrêter mille fois je me suis juré en pleurant de ne plus recommencer. J'ai trouvé mille bonnes raisons, pris des pillules, vu des psys et croisé les doigts. Mais rien à faire. Je replonge toujours. Je le sais si je ne deviens pas parfaitement sobre je risque d'y laisser plus que des plumes.\n\nAlors c'est pour ça que je viens là. Pas pour dire que c'est fini. Pas pour dire que j'ai gagné mais pour dire à tout ceux qu il le souhaite qu il faut qu on s entraide, qu on assume et que c'est mieux de l'admettre que de se laisser consumer. Je souhaite un immense courage à tout le monde et surtout celui de franchir le pas d'appeler à l'aide et de se battre. Parce que oui, on vaut mieux que ça bordel.", }, { - pseudo: 'Soazigou', - text: "Je viens de re installer l'application après l'avoir mise en place en janvier et coupée fin février. Motif : grosse chute à l'arrière du peloton et découragement complet. Pour autant et mis à part cette ' sortie de route' je suis revenue sans peine à la conso que j' ai déterminée en janvier. Pas plus de 2 verres semaine et zéro si pas envie.\n\nDepuis des années que je ferraille, les émotions de colère ou d'angoisse me font dévisser. Je connais les signes, mais... Je dois cela à un stress post traumatique lié à la période d'enfance. Je suis suivie par un psychiatre depuis 25 ans, et même avec traitement AD hoc, parfois ça déménage. Je suis loin des excès d'il y a 25 ans, mais je ne suis pas encore libre.\n\nMe 'réinscrire' ce soir est un nouveau en pas en avant.", + pseudo: "Soazigou", + text: "Je viens de re installer l'application après l'avoir mise en place en janvier et coupée fin février. Motif : grosse chute à l'arrière du peloton et découragement complet. Pour autant et mis à part cette ' sortie de route' je suis revenue sans peine à la conso que j'ai déterminée en janvier. Pas plus de 2 verres semaine et zéro si pas envie.\n\nDepuis des années que je ferraille, les émotions de colère ou d'angoisse me font dévisser. Je connais les signes, mais... Je dois cela à un stress post traumatique lié à la période d'enfance. Je suis suivie par un psychiatre depuis 25 ans, et même avec traitement AD hoc, parfois ça déménage. Je suis loin des excès d'il y a 25 ans, mais je ne suis pas encore libre.\n\nMe 'réinscrire' ce soir est un nouveau en pas en avant.", }, { - pseudo: 'Hervé', - text: 'Mon rétablissement a commencé le jour ou je n’avais plus grand-chose à perdre… Plus de famille des relations conflictuelles et l’entreprise que j’avais créé 6 ans auparavant était condamnée…. C’est cet évènement qui m’a poussé à enfin demander ce qu’il pouvait faire à mon médecin. En trois semaines j’avais une place dans une structure pour un sevrage et c’est dans cette unité de l’hôpital que j’ai appris que je n’étais pas fou mais malade. Je ne trouvais plus en moi et depuis longtemps les ressources pour faire face et j’avais pris l’alcool comme médicament pour apaiser mes tensions oublier mes échecs et sortir d’une vie qui n’était plus la mienne.\n\nLe rétablissement demande du temps et mon parcours comme beaucoup comprend une période d’alcoolisation… Pas longtemps, moins qu’avant j’ai eu de la chance et je me suis accroché comme un fruit sur un arbre à mes outils. Les rendez vous au CSAPA, les groupes d’entraide et puisque les applications n’existaient pas un forum dont je suis devenu un modérateur. J’ai découvert de nouveaux plaisirs pour remplacer l’alcool et j’ai adopté un nouveau mode de vie vasé sur les exercices d’une philosophie antique pleine de sagesse…Le Stoïcisme. Rien ne se fait en un jour et le plus important a été de prendre soin de moi et uniquement cela pendant quelques mois. En me renforçant dans mon abstinence un jour à la fois je me suis rendu compte que chaque petite victoire m’apportait une récompense, et la honte, la culpabilité ont peu à peu été remplacées par de la gratitude envers mes soignants envers mes pairs à qui je pouvais raconter mes avancées dans mes relations avec mes enfants.\n\nPour reconstruire il faut accepter le changement car revenir en arrière serait pour moi le plus sur moyen de recommencer à consommer. Mon rétablissement m’a donné l’occasion de faire de nouvelles rencontres, de m’intéresser aux autres et de changer de vie professionnelle.\n\nLe rétablissement m’a apporté le sens qui manquait à une vie dédiée à la réussite professionnelle matérielle pour aujourd’hui me concentrer sur le sens de mes activités. Le rétablissement est profond et jamais tout à fait achevé… Le plus important est que je prends soin de moi et je ne consomme plus aucune substance psychoactive. Je surveille mes comportements et je me corrige pour éviter de retourner dans un cercle dont le plaisir est exclu.', + pseudo: "Hervé", + text: "Mon rétablissement a commencé le jour ou je n’avais plus grand-chose à perdre… Plus de famille des relations conflictuelles et l’entreprise que j’avais créé 6 ans auparavant était condamnée…. C’est cet évènement qui m’a poussé à enfin demander ce qu’il pouvait faire à mon médecin. En trois semaines j’avais une place dans une structure pour un sevrage et c’est dans cette unité de l’hôpital que j’ai appris que je n’étais pas fou mais malade. Je ne trouvais plus en moi et depuis longtemps les ressources pour faire face et j’avais pris l’alcool comme médicament pour apaiser mes tensions oublier mes échecs et sortir d’une vie qui n’était plus la mienne.\n\nLe rétablissement demande du temps et mon parcours comme beaucoup comprend une période d’alcoolisation… Pas longtemps, moins qu’avant j’ai eu de la chance et je me suis accroché comme un fruit sur un arbre à mes outils. Les rendez vous au CSAPA, les groupes d’entraide et puisque les applications n’existaient pas un forum dont je suis devenu un modérateur. J’ai découvert de nouveaux plaisirs pour remplacer l’alcool et j’ai adopté un nouveau mode de vie vasé sur les exercices d’une philosophie antique pleine de sagesse…Le Stoïcisme. Rien ne se fait en un jour et le plus important a été de prendre soin de moi et uniquement cela pendant quelques mois. En me renforçant dans mon abstinence un jour à la fois je me suis rendu compte que chaque petite victoire m’apportait une récompense, et la honte, la culpabilité ont peu à peu été remplacées par de la gratitude envers mes soignants envers mes pairs à qui je pouvais raconter mes avancées dans mes relations avec mes enfants.\n\nPour reconstruire il faut accepter le changement car revenir en arrière serait pour moi le plus sur moyen de recommencer à consommer. Mon rétablissement m’a donné l’occasion de faire de nouvelles rencontres, de m’intéresser aux autres et de changer de vie professionnelle.\n\nLe rétablissement m’a apporté le sens qui manquait à une vie dédiée à la réussite professionnelle matérielle pour aujourd’hui me concentrer sur le sens de mes activités. Le rétablissement est profond et jamais tout à fait achevé… Le plus important est que je prends soin de moi et je ne consomme plus aucune substance psychoactive. Je surveille mes comportements et je me corrige pour éviter de retourner dans un cercle dont le plaisir est exclu.", }, { - pseudo: 'Utilisateur Anonyme', - text: 'L’alcool m’aidait à m’autoriser à être triste et du coup à appeler à l’aide mes amis.\n\nSans alcool ma vie physique et mentale se sont améliorées et je m’autorise à être triste quand je le suis et mes idées sont plus claires.', + pseudo: "Utilisateur Anonyme", + text: "L’alcool m’aidait à m’autoriser à être triste et du coup à appeler à l’aide mes amis.\n\nSans alcool ma vie physique et mentale se sont améliorées et je m’autorise à être triste quand je le suis et mes idées sont plus claires.", }, { - pseudo: 'Olga', - text: "Moi je me suis mise sur OZ et pour l instant je suis satisfaite de l application et je pense que c est une bonne solution pour la faire connaître autour de nous. Je ne culpabilise pas quand je bois, je ne tremble pas, je ne suis pas méchante, je n ai jamais provoqué d accident mais il est temps que j'arrête de boire. Je n'ai pas encore fait le deuil de mon mari depuis 19 ans mais boire ne le fera pas revenir. Pour l instant ça fonctionne bonne chance à tous.", + pseudo: "Olga", + text: "Moi je me suis mise sur OZ et pour l'instant je suis satisfaite de l'application et je pense que c'est une bonne solution pour la faire connaître autour de nous. Je ne culpabilise pas quand je bois, je ne tremble pas, je ne suis pas méchante, je n'ai jamais provoqué d'accident mais il est temps que j'arrête de boire. Je n'ai pas encore fait le deuil de mon mari depuis 19 ans mais boire ne le fera pas revenir. Pour l'instant ça fonctionne bonne chance à tous.", }, { - pseudo: 'Utilisateur Anonyme', + pseudo: "Utilisateur Anonyme", text: "L'alcool est d’abord entré dans ma vie comme un “ami”, un refuge face aux épreuves. Un verre après l'autre, il est devenu un confident, puis un maître. L’ivresse masquait mes blessures, mais elle creusait un gouffre béant sous mes pieds. Ma vie s'est transformée en une succession de bouteilles vides, de nuits blanches et de regrets le lendemain. Un jour, le regard désabusé de mon fils m'a frappée en plein cœur. J'ai compris que je n'étais plus que l'ombre de moi-même, une épave humaine incapable d'assumer ses responsabilités. C'est à ce moment précis que j'ai décidé de me battre. Le combat a été long et difficile. J'ai subi des rechutes, des moments de découragement où l'envie de replonger me tenaillait. Mais j'ai puisé ma force dans l'amour de mes proches, dans leur soutien indéfectible. J'ai fréquenté des groupes de soutien, appris à gérer mes émotions autrement que par l'alcool. J'ai découvert peu à peu comment retrouver du plaisir dans des activités quotidiennes, le plaisir des choses simples. Aujourd'hui, je suis fière de pouvoir dire que je suis sobre depuis plusieurs années. L'alcool n'a plus aucune emprise sur ma vie. J'ai retrouvé ma confiance en moi et le bonheur d'être entourée de ceux que j'aime. N'oubliez jamais que vous avez le pouvoir de changer votre destin. Chacun de nous possède en soi la force de vaincre ses faiblesses. Croyez en vous, et vous y arriverez.", }, { - pseudo: 'Silv', + pseudo: "Silv", text: "Le chemin vers la maitrise de sa consommation n'est pas facile. Il est parsemé de défis et d'obstacles, mais chaque étape que vous franchissez renforce votre détermination et votre volonté. Chaque jour que vous passez sans boire est une preuve de votre force et de votre courage. N'oubliez pas qu'il y a des ressources disponibles pour vous aider. Les groupes de soutien comme les professionnels de santé peuvent vous aider à comprendre et à gérer votre dépendance. Il n'y a pas de honte à demander de l'aide. En fait, c'est un signe de force et de détermination. Souvenez-vous que chaque jour est une nouvelle opportunité pour progresser sur le chemin de la sobriété. Vous avez déjà fait le plus dur en reconnaissant votre problème. Maintenant, chaque petit pas que vous faites est une victoire. Soyez fier de vous.", }, { - pseudo: 'Utilisateur anonyme', + pseudo: "Utilisateur anonyme", text: "J’ai commencé à boire lors de soirées entre amis. Au début, c'était juste pour m'amuser, pour me détendre. Mais petit à petit, la consommation est devenue plus fréquente, plus importante. J'ai commencé à boire seul, chez moi, pour noyer mes problèmes, mes frustrations. L'alcool me donnait l'illusion de tout oublier, de me sentir bien dans ma peau. Mais c'était une illusion trompeuse. Plus je buvais, plus je sombrais dans un cercle vicieux. Mon addiction a commencé à avoir des conséquences néfastes sur ma vie professionnelle, sur mes relations avec mes proches. Je perdais le contrôle, je devenais violent, irascible. Un jour, j'ai touché le fond. Ma femme m'a quitté, et je me suis retrouvé seul, au fond du trou. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que je devais me battre, que je devais vaincre mon addiction pour sauver ma vie. J'ai décidé de me faire aider. J'ai intégré un programme de réadaptation, et j'ai commencé à fréquenter des groupes de soutien.Il y a eu des moments de découragement, mais je n'ai jamais baissé les bras. Aujourd'hui, je suis fier de dire que je ne suis plus dépendant à l’alcool depuis plus de cinq mois. J'ai retrouvé ma famille, et je suis enfin heureux et serein. Si vous souffrez d'alcoolisme, sachez que vous n'êtes pas seul. N'ayez pas honte de demander de l'aide, c'est la première étape vers la guérison. L'alcoolisme n'est pas une fatalité. On peut s'en sortir. Il suffit de le vouloir, et de se battre pour retrouver sa vie.", }, { - pseudo: 'Marie C.', + pseudo: "Marie C.", text: "L'alcool a empoisonné une grande partie de ma vie. J'ai commencé à boire jeune, cherchant à échapper à une réalité qui me pesait. Au fil du temps, l'alcool est devenu un refuge, puis une prison. Je buvais pour oublier mes problèmes, pour me sentir courageux, pour noyer mes angoisses. Mais l'alcool ne résolvait rien, il ne faisait qu'aggraver les choses. Ma vie est devenue un chaos. J'ai perdu mon travail, mes amis, mon couple. J'étais seul, isolé, enfermé dans ma dépendance. Le regard des autres me pesait, rempli de jugement et de pitié. J'avais honte de moi, de ce que j'étais devenu. Un jour, j'ai touché le fond. J'ai fini à l'hôpital, après une énième soirée arrosée. C'est là que j'ai réalisé que je ne pouvais plus continuer ainsi. Il fallait que je change, que je me batte pour ma vie. J'ai décidé de me faire soigner. J'ai appris à gérer mes émotions sans l'alcool, à identifier les causes de ma dépendance. Ce n'était pas facile, il y a eu des rechutes, des moments de découragement. Mais je n'ai jamais baissé les bras. Aujourd'hui, j'ai repris ma vie en main. Je suis heureux, serein, et je savoure chaque jour qui passe. Vaincre la dépendance n'est pas facile, mais c'est possible. Il faut de la volonté, du courage, et beaucoup de soutien. Si vous souffrez, n'ayez pas honte de demander de l'aide. N'oubliez jamais que vous n'êtes pas seul, et que vous pouvez vaincre cette maladie. Mon message à ceux qui se reconnaissent dans mon parcours : N'abandonnez jamais. Vous avez la force de vaincre cette dépendance. Le chemin est long et difficile, mais la récompense est immense : une vie libre et heureuse. N'hésitez pas à demander de l'aide, il y a des gens qui vous soutiendront dans votre combat. Vous n'êtes pas seul.", }, ];